Le poison des laboratoires Vs le cannabis naturel

Une fois n’est pas coutume, mais trois articles de la rubrique Santé publiés sur le site du journal appartenant au célèbre vendeur d’armes (acheteur de suffrages), Serge Dassault ont attiré mon attention.

Etonnant carambolage en ligne, avec ce premier rapport instituant un lien entre l’usage régulier de somnifères et la maladie d’Alzeihmer dont Nicolas sarkozy a fait sa grande cause nationale ; Cet article stigmatisant une consommation forte de médicaments par les français, notamment les anti-douleurs ; Internet rendant accro ; Et finalement d’un article sur l’interdiction votée contre l’utilisation des BisphénolA...

Mais combien de temps aura-t-il fallut attendre pour que le principe de précaution l’emporte, il ne s’agissait ni plus ni moins que de protéger les bébés... Que l’on s’aperçoive du mal occasionné par ce qu’on appellerait un "médicament", en l’espèce de pilules servant à déstresser ou faciliter l’endormissement, il fallait bien un jour que cela soit dit, mais pour quel effet direct et immédiat ? Enfin, que l’addiction qui vient d’avoir sa définition internationale "maladie chronique du cerveau" soit associé aux pratiques informatiques devraient nous interpeller pour envisager l’avenir.

Dans les trois cas, il aurait été plus utile de permettre l’utilisation des propriétés psychotropes du Cannabis Sativa L, d’autoriser une forme d’automédication qui réduirait le recours aux drogues issues des laboratoires pharmaceutiques.

Or, si chaque année, 42 000 personnes décèdent en France, à la suite de maladies causées par la pollution atmosphérique, personne n’est mort directement de la consommation de cannabis.

Donc, si même l’air que l’on respire est dangereux et que le cannabis peut nous épargner des prescriptions légales, mais peut-être délétères... Il devient urgent pour des raisons de santé publique de rendre légal l’usage du cannabis.

Source:Cannabis-Sans-Frontière

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